Île de Sal (a vida ?)

Porto de Palmeira, un des 3 ports pour les formalités d’entrée au Cap Vert, où on peut faire remplir sans souci sa bonbonne française de butane au dépôt Shell (Vivo ?) et acheter un T-shirt du football capverdien à l’ivoirienne Madeleine.


Espargos, sa minuscule capitale, affublée d’un aéroport international.

A Pedra do Lume, la visite les pieds dans l’eau aux bébés requins citron, puis les anciennes mines de sel et marais salants dans le cratère du volcan.


Dans le Nord, le désert, des arbres tordus par le vent, et d’étranges taches de couleur… du plastique omniprésent.

On a rencontré l’harmattan, vent de sable rouge venant du désert d’Afrique du Nord, qui colore tout sur son passage

Dans le Sud, à Santa Maria, un alignement de gros hôtels façon Playa del Carmen ou Varadero, c’est la Mecque des kitesurfeurs et windsurfers…

Et là il y a une boutique d’articles fait avec des emballages recyclés…    La matière première ne manque pas au Nord et à l’Est de l’île où on retrouve tous les emballages qui ont dérivé depuis la côte africaine.

« The luxury of not throwing away » vendait des sacs en capsules de canettes de soda de 100 à 300 euros…

« Upcycling-Nothing is lost-Nothing is created-Everything is transformed » en Euros sonnants et trébuchants… avec en présentoir un bidon d’additif lubrifiants Total…

La vue des toilettes du bar de la plage n’est quand même pas une vue de merde…

El Hierro – La Restinga

La Mecque des plongeurs.

Mais une escale dangereuse pour nos pare-battages. Deux bousillés par le ragage contre le quai et ses défenses caoutchoutées… Heureusement j’ai pu les remplacer à la coopérative des pêcheurs.

Et on a mangé du poisson au resto puisque ça ne mord pas chez nous.

 

 

Les eaux noires …

Plongée intéressante dans les fonds du bateau…

La jauge indiquait 20 litres… donc on utilisait les toilettes sans modération jusqu’au débordement merdique…

Donc nettoyage de la sonde…

Et lavage séchage des charbons actifs des filtres à odeur mouillés…

La Palma

Santa Cruz de La Palma, une ville pleine de patios et de jolis balcons.


 

 

Des desserts très bons comme
le « bienmesabe »

et le « principe alberto »

http://www.abc.es/local-canarias/20141123/abci-mejores-postres-canarias-201411211519_1.html#3

 

Le Sud avec un volcan dont la dernière éruption en 1971 a fait grandir l’île.

Il y a aussi des salines.

Sur la lave pousse de la vigne… mais aussi comme sur tout le Sud de l’île jusqu’à Tazacorte en tout cas… de la banane partout… (sous bâche parfois…voir 3ème photo)


 

 

Et à la marina de Tazacorte hiverne Takéo, un Allures 45 de 2011.

Dans le Nord, le Roque de los Muchachos, ses observatoires européens, italien, nordique, et sa vue plongeante sur le parc national de la Caldera de Taburiente. Après le Teide de Tenerife et le Garojonay de La Gomera, voilà notre 3ème parc national (11 en Espagne dont 4 aux Canaries) :

 

Et une interrogation sur cette publicité :

 

 

Les poissons blog…

Trop heureux, le 14 novembre, on a pêché 3 poissons qui ressemblaient à ça.

 

Le 1er on l’a vidé, nettoyé, et jeté dans un court-bouillon.

 

Mais quand même vu son ventre blanc bizarre, on avait un doute.

Et voilà les poissons blog sont des poissons globe toxiques… on l’a jeté juste à temps…

http://mediapress24.fr/index.php/2017/10/31/invasion-du-poisson-globe-toxique/

http://www.eltiempohoy.es/animales/peces-globo-canarias-agua-mar-toxicos-alerta_0_2437575221.html

La Gomera

Cette île me fait penser à l’Amérique Latine. D’ailleurs il y eut beaucoup d’émigration… et de retours. Notamment vers Venezuela et Cuba.

On a rencontré Luli, une serveuse cubaine, et on a bu un mojito fait au jus de canne à sucre fraîche, et les liens subsistent…

On a acheté au moulin du « gofio » la traditionnelle farine toastée de céréales, dont la consommation a atteint l’Amérique Latine.

 

 

 

 

 

 

Et on a acheté du bon fromage de chèvre piquant, et de l’almogrote fait avec

 

 

Mais on n’a entendu personne siffler la langue sifflée locale, le « silbo » classé au patrimoine mondiale de l’Unesco.

http://next.liberation.fr/musique/2013/09/08/le-second-souffle-du-silbo_930280

Tenerife Sud-Granadilla-Playa Tejita

Mouillage pour deux nuits, venté mais finalement peu rouleur.

On a mangé des galettes…

 

Débarquement mouillé avec retournement d’annexe, vélo dans l’eau, HB à l’envers, waterlock, donc retour à la rame, rinçage du HB à l’eau douce et double vidange.

Puis départ du mouillage au portant par 25 noeuds de vent.

Sans aucune toile on avançait à 5 nœuds :  voir la vitesse à la fin de la vidéo