Pointe à Pieter (…Pitre)

L’arrivée sur la capitale a donné lieu à 2 rencontres nauséabondes.

La sargasse fait une attaque massive nuisible au tourisme, plan préfectorale anti-sargasse déclenché sur la côte au vent début avril.

Et on a doublé dans le canal des Saintes un convoi en remorque qui a ensuite mouillé face au chenal du port.

En se rapprochant, on a senti et vu que ce sont des ordures… sans doute amenées des Saintes vers la Guadeloupe pour y être incinérées… Eh bien non, elles y seront juste enfouies, il n y a pas d’incinérateur à ordures ici.

 

Bridgetown, Barbados

Ici vinrent les colons anglais avec des esclaves.

Manquant de terres, ces colons s’installèrent ensuite en Caroline (USA).

Et ils ont combattu en 14-18

Et on fête Noël

Et pour Steph…le Yacht Club local a accueilli les championnats du monde de 505.

Et pour Stuart et tous mes anciens « deputies » une pensée particulière à leur santé. Hips !

Et une spéciale Louis…

On s’efforce ici aussi de préserver l’environnement

Et voici 2018 et des feux d’artifice

Île de Sal (a vida ?)

Porto de Palmeira, un des 3 ports pour les formalités d’entrée au Cap Vert, où on peut faire remplir sans souci sa bonbonne française de butane au dépôt Shell (Vivo ?) et acheter un T-shirt du football capverdien à l’ivoirienne Madeleine.


Espargos, sa minuscule capitale, affublée d’un aéroport international.

A Pedra do Lume, la visite les pieds dans l’eau aux bébés requins citron, puis les anciennes mines de sel et marais salants dans le cratère du volcan.


Dans le Nord, le désert, des arbres tordus par le vent, et d’étranges taches de couleur… du plastique omniprésent.

On a rencontré l’harmattan, vent de sable rouge venant du désert d’Afrique du Nord, qui colore tout sur son passage

Dans le Sud, à Santa Maria, un alignement de gros hôtels façon Playa del Carmen ou Varadero, c’est la Mecque des kitesurfeurs et windsurfers…

Et là il y a une boutique d’articles fait avec des emballages recyclés…    La matière première ne manque pas au Nord et à l’Est de l’île où on retrouve tous les emballages qui ont dérivé depuis la côte africaine.

« The luxury of not throwing away » vendait des sacs en capsules de canettes de soda de 100 à 300 euros…

« Upcycling-Nothing is lost-Nothing is created-Everything is transformed » en Euros sonnants et trébuchants… avec en présentoir un bidon d’additif lubrifiants Total…

La vue des toilettes du bar de la plage n’est quand même pas une vue de merde…

S’entraîner à faire pousser des graines…

POURQUOI METTRE LA LUZERNE AU MENU?

  • Partout, elle remplace originalement l’éternelle laitue…
  • On peut la faire germer soi-même et bénéficier d’une verdure d’une fraîcheur absolue à longueur d’année.
  • Son activité antioxydante serait élevée.
  • Elle est riche en saponine, un composé capable de réduire certains paramètres du cholestérol sanguin. 

Mais un étage de germoir suffit à un repas…

 

2 vélos pliables et 1 leçon de commerce

Bon en fait, on tournait autour, on n’avait pas tranché. Bien sûr, la marraine du bateau nous a dit que le Brompton c’est le top. Mais c’est en acier, c’est des roues de 16 pouces et c’est cher.

Bien sûr il y a le 20PM4 de BlancMarine en alu, mais pour l’essayer, c’est à Bordeaux, ou sur leur stand à  l’occasion d’un des salons nautiques.

Et puis cette semaine, à Morges, je passe devant chez Guibert Bike et il y avait un joli TERN Link D8 rouge. Je le prends en photo. Mauvaise ma photo…

Mais je me renseigne sur Internet en lisant le test du TERN C8… et puis comme pour beaucoup de choses, un petit comparatif sous excel, le Kansi est sans vitesse, le MBM Snap 20 pas très cher, et le Dahon Vybe D7 en alu semble tenir la corde en rapport qualité/prix, un peu moins cher que le TERN.

Et on a l’autorisation de notre référente  experte en bicyclettes d’explorer des TERN inconnus (ouaf !) qui semble être une bonne marque, c’est pas BRILLANT ça ? (re-ouaf!)

Bon… où les voir ? Et bien sur le site Dahon.ch qui ne parle qu’allemand, je ne vois rien. Bon je googlise Dahon Lausanne, je trouve le shop Tandem. http://www.tandem.ch/brand/dahon/   m’indique  « Aucun produit ne correspond à votre sélection ». Mais la liste indique aussi leur distributeur à Morges : Cycles Dotti.  Génial non ?

Mais chez Dotti, dont le site ne montre pas la catégorie vélos pliants, accueil distant : si on le veut, il faut commander. Oui mais comment essayer ? Pas de modèle d’expo, pas de vente. Parce que si je veux juste commander sans voir ou essayer, je vais sur Internet…

Ensuite Froidevaux à Morges qui ne fait pas de pliant, mais renvoie confraternellement chez son collègue Guibert. La boucle est bouclée, allons donc essayer celui de la photo.

Eh bien il est joli dans sa livrée rouge et convaincant à l’essai dans la rue. On se voit déjà pédaler là-bas, où tout est neuf et tout est sauvage…

Le maître des lieux, un Commerçant comme on n’en fait plus, nous accompagne dans notre recherche de solution, et toujours à l’écoute, sort son catalogue et déroule son panneau d’accessoires, genre le panier souple Rixen Saul.

Donc mettez-nous en deux s’il vous plaît, des TERN Link D8 rouges avec des housses et des supports à sacs si possible.

Un modèle d’expo en vitrine = deux ventes.

C’est pas une vie de cinéma, ça, Mr Guibert ?

Je dirais même que TERN mine à tort.

Et avec sa housse de portage

Le choix des couverts…

Chez Carrefour, même à l’unité les couteaux et fourchettes sont sous plastique. Evitons le suremballage.

Achat en vrac, à l’unité, chez Manor, série Fiona, tout métal. Et cerise sur le gâteau, c’est moins cher à l’unité qu’en prenant la ménagère 24 pièces sous plastique.

 

Grâce à M & M, l’outil idéal pour écumer les mers n’est pas celui qu’on « croix » :

 

Et pour faire bonne mesure des éplucheurs et couteaux à steak de fabrication française à manche en olivier :